quinta-feira, abril 20, 2006
Velha amiga
Je la sens doucement,
au bout de mes doigts,
sur le bout de la langue,
l'envie de renouer
avec tes mots,
tes sonorités,
tes mots qui dessinent si différemment
l'expression de mon autre moi.
Ta musique s'étrangle
dans ma voix et me laisse rêver
le temps qui passe et ne s'écoule pas.
Et tous mes désirs te connaissent
de t'avoir toujours parlé.
1 Comments:
commented by Aragana, 4:30 da tarde
Terei de voltar cá quando estiver em casa.